Dans ce blog, je vous montre ce que je « bricole » : patchwork, cuir, broderie, décoration florale, et autres « bidouillis », mais parfois je m’attaque à plus gros. C’est ce que j’ai décidé de vous montrer aujourd’hui.
Cela se passe dans la Région Parisienne. Nous habitions une villa dans un « lotissement ouvert » à l’américaine, avec très peu de terrain (parce que très cher dans le coin)
Ici, mon cher époux donne le premier coup de bêche, sous l’œil attentif de Frimousse, afin de creuser une tranchée destinée à contenir un drain qui assécherait le terrain particulièrement spongieux.
Cela se passe dans la Région Parisienne. Nous habitions une villa dans un « lotissement ouvert » à l’américaine, avec très peu de terrain (parce que très cher dans le coin)
Ici, mon cher époux donne le premier coup de bêche, sous l’œil attentif de Frimousse, afin de creuser une tranchée destinée à contenir un drain qui assécherait le terrain particulièrement spongieux.
A peine la tranchée commencée qu’une idée géniale germe dans mon esprit fertile ! Maintenant qu’on y est, pourquoi ne construirions-nous pas un bassin ? Je me retrousse les manches et je m’y colle.
Je lui donne une forme de haricot, pourtant vu d’en haut, il ressemble plutôt à la Corse. Quand la pluie nous arrête. Le trou se remplit rapidement et garde l’eau. Normal c’est de l’argile qu’on charrie depuis des heures.
Mais je ne veux pas d’une mare à canards, je veux un vrai bassin … sauf que je n’ai toujours aucune idée de la façon de procéder !
Quelques jours plus tard, la construction d’un bassin n’avait (presque) plus de secret pour moi. Dans une jardinerie je fais l’acquisition d’un livre sur la spécialité, et me renseigne auprès des vendeurs.
Et voilà que je vide l’eau et me remets seule à l’ouvrage pendant que l’Homme est parti gagner quelques sous pour continuer les travaux.
Comme pour le patchwork, je commence l’ouvrage et ce n’est qu’en avançant que je découvre les difficultés, apporte quelques modifications à mes projets initiaux, et poursuit lentement mais sûrement. Ici, j’avais envie de construire des sortes de plages autour du bassin, mais il me fallait mettre tout ça à niveau alors que le sol ne l’était pas. Mon époux ne savait comment s’y prendre, mon voisin (ingénieur en informatique, pas en génie civil) non plus. Mais je restais confiante …
La nuit portant conseil, je savais déjà que j’aurai la solution au réveil le lendemain matin. Et il en fut ainsi.
Quelques jours plus tard, la construction d’un bassin n’avait (presque) plus de secret pour moi. Dans une jardinerie je fais l’acquisition d’un livre sur la spécialité, et me renseigne auprès des vendeurs.
Et voilà que je vide l’eau et me remets seule à l’ouvrage pendant que l’Homme est parti gagner quelques sous pour continuer les travaux.
Comme pour le patchwork, je commence l’ouvrage et ce n’est qu’en avançant que je découvre les difficultés, apporte quelques modifications à mes projets initiaux, et poursuit lentement mais sûrement. Ici, j’avais envie de construire des sortes de plages autour du bassin, mais il me fallait mettre tout ça à niveau alors que le sol ne l’était pas. Mon époux ne savait comment s’y prendre, mon voisin (ingénieur en informatique, pas en génie civil) non plus. Mais je restais confiante …
La nuit portant conseil, je savais déjà que j’aurai la solution au réveil le lendemain matin. Et il en fut ainsi.
Puis vint le moment de poser un feutre pour empêcher pierres et racines de percer la bâche posée dessus.
Après avoir posé les pierres tout autour du bassin pour cacher la bâche (les plus grosses pesaient 30 Kg !) j’ai attendu le week-end pour passer le flambeau à mon mari-bricoleur. Bien que fille d’électricien, j’ai toujours été fâchée avec tout ce qui touche au courant … surtout qu’avec l’eau ça ne fait pas bon ménage.
Le voici qui installe la pompe.
Le voici qui installe la pompe.
Il a ajouté un jet d’eau et des luminaires et moi du gravier et quelques plantes.
On attend quelques mois que l’équilibre de l’eau soit stable (évaporation du chlore entre autre) pour y adjoindre quelques plantes aquatiques.
Et me voici par une fraîche soirée de novembre, en train de faire trempette pour planter un nénuphar !
Et me voici par une fraîche soirée de novembre, en train de faire trempette pour planter un nénuphar !
Mais l'été suivant, regardez le résultat …
J’ai remplacé le grillage par une bordure en bois pour faciliter l’entretien du gazon autour, et voilà MON bassin "vu d’avion" …
J’ai remplacé le grillage par une bordure en bois pour faciliter l’entretien du gazon autour, et voilà MON bassin "vu d’avion" …
De passage pour te souhaiter un excellent dimanche ensoleillé.
RépondreSupprimerJ'ai eu plaisir à regarder et lire tes articles sur la fabrication de ton île, c'était superbe et effectivement dommage que tu n'en as profité que 2 ans.
Gros bisous et à bientôt
et bien quel travail , tu as bien travaillé , tu es une courageuse ! j espere que les nouveaux locataires ont gardé ce joli écrin !!!!
RépondreSupprimerje suis aller voir les photos du vercors !!! ce sont des belles photos !!!
RépondreSupprimerc est toi sur la photo????
Réponse à "Anonyme" à qui j'aimerai bien mettre un nom ...
RépondreSupprimerOui c'est moi sur les photos du Vercors s'il s'agit du diaporama.
Félicitations pour cette belle réalisation. En réponse à ta question, le nôtre, c'est mon mari qui l'a construit entièrement, moi je me contente d'admirer...
RépondreSupprimeroh comme tu es douee !!!il faut le dire !!lol
RépondreSupprimerdomage que tu n'en ai pas plus profité
bisettes
tu n'en a pas profité beaucoup,mais tu a eu au moins le plaisir de faire naître cette superbe oasis !
RépondreSupprimerbises
J'habitais dans une maison de la même "marque" en Région Parisienne avant de m'expatrier au Québec...et nous avions aussi un bassin avec des nymphéas...mais ce n'était pas le tien...
RépondreSupprimerJe comprends bien ton interet pour les points d'eau du Jardin de la Poterie d'Hillen :)
RépondreSupprimerPrends bien soin de toi
Isabelle Miaou
magnifique ton bassin...
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